Vol 747

Changement d’île et changement de rythme, puisqu’après avoir tiré sur la corde en NZ, nous atterrissons à Sydney, bien décidés à souffler un peu. Imposante au premier abord, cette cité ne doit ses grands airs qu’à son opéra. Pour le reste c’est une ville cosmopolite très accueillante et nous prendrons plaisir à en arpenter les différents quartiers dans nos chaussures plus propres que jamais, la douane sanitaire ayant jugé bon de les nettoyer en profondeur avant de nous laisser pénétrer sur le territoire. Darling Harbour, the Rocks, Chinatown, Bondi beach, Paddington, Newtown, Glebe, Kingcross, nous voilà prêts à parcourir Sydney dans ses moindres recoins !
Seul bémol : la pluie ! En une semaine elle ne nous a quasiment pas quittés, tant et si bien qu’il nous faudra patienter jusqu’à notre escapade à Cairns – beaucoup plus au nord – pour goûter enfin au soleil australien ! Entre les gouttes on apercevra quand même Didier Ruilliere (les ISFA comprendront) dont la présence ici, elle aussi, demeure brumeuse.
La pluie. Voilà un point commun avec Paris dont nous nous serions bien passés ! Découvrir une ville en veste gore-tex et pantalon de k-way n’a pas tout à fait la même saveur que lorsqu’elle baigne sous le soleil et il est impossible d’être sur son petit nuage quand on est sous un gros. Quant à capturer les vues spectaculaires du Harbour Bridge ou les jeux de lumière sur l’Opéra House, pas facile non plus…
Mais nous savions d’avance à quoi nous en tenir et la saison est l’une des raisons pour laquelle nous avions choisi de ne faire qu’un bref séjour au pays des wallabies. L’autre tient au coût de la vie, qui n’a rien à envier à celui de nos chères villes européennes et qui est sans commune mesure avec celui des pays d’Amérique Latine. C’est pourquoi nous avons volontairement restreint nos déplacements et nos activités, dont la principale fut… le shopping ! C’était les soldes. Meriem ne tenait plus.
Sydney fut également pour nous l’occasion de poursuivre notre découverte du couchsurfing – nous n’avons pas passé une seule nuit à l’hôtel – et à défaut de toujours bien dormir, de faire des rencontres aussi sympathiques qu’insolites, même si aucun de nos hôtes n’était australien ! L’occasion aussi de manger de bons petits plats, puisqu’en retour de leur hospitalité nous leur faisions découvrir la cuisine de chez nous, i.e. plats marocains, crumble et gâteau au chocolat.
Au chapitre nourriture, force est de reconnaître que Sydney partage un autre point commun avec Paris : on y mange bien. Et l’on trouve de tout, à l’image de la population, l’une des plus cosmopolites qu’il nous ait été donné de rencontrer. Encore faut-il connaître les bons coins, spécialement pour les restaurants chinois qui sont légion, car nous avons eu droit à du bon (dans une gargote) comme du moins bon (dans un endroit pourtant réputé). Autre alternative, dîner chez des locaux, à l’instar de cette délicieuse soirée passée en compagnie de Matt et Sandra.
That’s it budy.
Un dernier détour par le zoo et zou ! Prochaine escale, Singapour !
Ca fait du bien de vous relire, quoiqu’à bien y réfléchir, on était quasiment sevrés, et vous voilà responsables d’une rechute collective de vos followers completement addict de vos articles ! Mais bon, moi j’aime ça, mon côté cuir sûrement :-)
OB
Ktchhhh….j’essaie d’imiter le son du fouet mais tu as du reconnaître Oliver!
Vazy continue, c’est bon
A l’aise, j’ai reconnu tout de suite !
Chouettos ! Et Cairns, vous avez plongé sur la barrière de corail? je dinerais bien moi aussi avec Sandra et Matt… ;o)
Cairns arrive, enfin si on réussit à charger la vidéo qui va avec l’article car le débit indonésien laisse quelque peu à désirer…
Merci de ces nouvelles!
Puisqu’on parle couchsurfing, envoyez moi un mail si vous avez besoin d’un plan couchage à Singapour. Tchau
Muito obrigada Vincent, mais on a déjà un copain qui nous a accueilli.
Salut les Champions,
» Découvrir une ville en veste Gortex . . . sous un gros »
Pourriez-vous, SVP, avoir l’amabilité de m’inscrire à vore prochaine session de Rédaction Française ?
J’adoooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooorrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrre ! ! !
Merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii