Incartades

Après nos escales excrément contrastées auprès des indécrottables villageois du lac, place maintenant à leurs illustres ancêtres les Incas…
Premier contact à Cuzco, qui arbore fièrement son drapeau arc-en-ciel, symbole de l’Incattitude aux faux airs gay-friendly. Cuzco n’en est pas moins une ville très accueillante avec ses nombreuses églises baroques, sa majestueuse plaza de Armas – nom qui au Pérou désigne systématiquement la place principale, dans les grandes villes comme les petits villages – et ses maisons coloniales érigées sur des murs Incassables. Mais c’est avant tout le point d’entrée de la vallée sacrée et du célébrissime Machu Picchu, but ultime de toute visite au Pérou.
Au départ nous comptions nous y rendre par le chemin de l’Inca, mais ce trek de trois jours est tellement prisé qu’il nous aurait fallu patienter jusqu’au mois d’août ! Du coup, nous empruntons une voie plus classique, i.e. bus locaux, taxis collectifs et train (obligatoire pour la dernière partie du trajet), qui nous feront traverser la vallée sacrée au gré de quelques étapes sélectionnées par nos soins : un marché artisanal, des terrasses en amphithéâtre, des salines, mais pas de ruines ! Le prix du billet d’entrée au Machu Picchu étant une ruine à lui tout seul…
Gonflés à bloc nous attaquons l’ascension vers le site avant les premières lueurs du jour (et les départs des bus touristiques par la même occasion), pour arriver à l’ouverture des portes, après une petite heure de grimpette et quelques 1700 marches d’un sentier épuisant… Mais le jeu en valait la chandelle, car malgré toutes les photos que nous avions pu voir, la découverte de ces vestiges est quelque chose d’extraordinaire !
Nous irons même jusqu’à gravir le Wayna Picchu, la montagne qui surplombe le Machu Picchu et permet, moyennant une Incalifiable montée, d’avoir une vue saisissante sur ce mystérieux site perché au milieu de nulle part.
Après ce formidable encas, prochain arrêt, Arequipa !
A
ah ah.. moi je craque.. chui pas loin de l’explosion. Je vois pas comment vous allez pouvoir reprendre un « travail de bureau » après tout ca. Rien que de vous lire.. je me demande comme je ne craque pas moi même. c’est une invitation à faire un tour du monde vos articles. Je suis moins visible que mon ami nico mais je n’en loupe pas un. bises à vous 2. gm
Et depuis quand tu refuses nos invitations ? ;) Come on!
Ah ah ah, encore encore encore, je n’ai plus rien à faire et vous lire, en plus de me ravir, m’occupe !!!
Mais bon plus que lundi et c’est fini !!!
Toi aussi tu arrêtes de travailler ? :p
C’est quoi tous ces chapeaux Meriem ??? ;-)
On est loin des habituels panama !!!
Si tu parlais un peu arabe je t’aurais répondu liddaroura echi3riya, mais t’inquiète j’aurai un Panama sur la tête dès que nos pieds auront foulé l’Equateur :D
Après l’étape « merdique » du Titicaca je vois que vous en avez pris plein les mirettes avec le Machu Picchu. Si je fais le tour du monde dans une deuxième vie j’éviterai le lac…Superbes images de ce site grandiose. Je suis de plus en plus jaloux !
Mais c’est pas la retraite le début de la deuxième vie ?
Mais où avez-vous donc trouvé ce nombre INCAlculable de chapeaux ?? Vous INCArnez à merveille ces descendants des INCAS qui prononcent leurs INCAntations près des cierges INCAndescents. Vous serez effectivement INCApables de revenir au monde moderne dans lequel vous vous sentirez comme INCArcérés.
J’ai fait de mon mieux pour être à la hauteur de vos jeux de mots et je m’épuise déjà. Quelle prouesse de votre part, ce permanent renouvellement !
Bénédicte
L’humour Mercier est INCA désespéré…
Meriem,le rôle de guide te va très bien !!,et tu assumes!!,tu ne serais pas en train de changer de profession ??.
Quant à Alex avec la flûte de pan,il fait tranquillement son chemin….,bravo!!.
Au moins certaines contrées auront montré qu’on peut faire autre chose que l’actuariat!!.
Bonne continuation pour les prochaines étapes.
hadj.
Hadik l3amaria diyalhom hcen men dialna
Diri fiha douira
BIZ.
Dans ce cas, il faudrait faire appel à des naggafates péruviennes qui connaissent
parfaitement le célèbre récital dont le titre principal n’est autre que: » a meriyam al warda,
waàlik itih n’da ».
Salut meriyama.
Safi 7na dazet noubtna, 3oukbal lalla Kelthouma.
Nous aussi on peut vous faire envie, car j’ai souvenir d’en avoir eu marre de manger poulet, riz, poulet, riz : Hum ! la bonne vinaigrette que je vais faire : une bonne cuillerée de moutarde de Dijon, une lampée d’huile d’olive fruitée, du vinaigre de noix, de la ciboulette fraîchement coupée et une grosse échalote rose violet avec par dessus une craquante petite batavia. Alors ? On salive ?
Raté ! Car nous sommes à Lima et le traditionnel poulet-riz vient de céder la place à un délicieux ceviche… Hum !