PNC aux portes

Nous y voilà.
Plus d’appart, plus de jobs, libres et légers comme l’air.
Enfin presque.
A
A
Car il aura quand même fallu faire rentrer
ça dans ça
ce qui nous fait chacun plus de 15 kg sur les épaules, sans compter les petits sacs à dos. Extra light quoi !
Une dernière raclette, une dernière galette, une dernière coupette, et nous gagnons l’aéroport de bon matin sous les hourras d’une foule en délire. Nos chers frères et soeurs, les yeux gonflés de larmes… ou de sommeil, difficile à dire.
C’est donc le coeur un peu gros que nous franchissons les portes de l’embarquement (non sans avoir relevé au préalable notre premier défi) car ce voyage ne ressemble à aucun autre. L’excitation qui d’ordinaire accompagne tout départ en vacances cède malgré nous la place à un mélange d’appréhension et de spleen, mais l’heure est venue !
Une escale à Madrid, un livre, trois « repas » d’Ibéria, le chat botté en mode mute et une dizaine d’heures plus tard (dont 99% de sieste pour Meriem), nous posons les pieds à Rio, première étape de notre périple. Là nous avons la chance d’être accueillis et logés par des amis cariocas, sous le regard bienveillant d’un géant aux bras grands ouverts, qui à sa manière nous souhaite Bem-vindo !
PS : pour les mauvaises langues qui trouveraient la publication de cet article tardive, non il n’y a pas une semaine de décalage horaire avec Rio, il nous faut juste prendre le rythme et jusqu’à présent c’était plutôt celui de la samba ;)
Un démarrage en douceur à ce que je comprends….la sieste de Meriem s’est poursuivie. Le géant aux bras ouverts ne risque pas de claquer des mains pour vous réveiller. Ouvrez les yeux les gamins ! Moi, je voyage par procuration avec vous.
Ah ben quand même! on en veut d’autres, vous n’imaginez pas à quel point c’est plaisant de lire le matin vos posts avt de partir bosser dans le froid et tout et tout
Fab et Gé